9/ Douce lumière

Publié le 25 mars 2024 à 18:18

" Si chacun cherchait la lumière au fond de son âme, la vie ne serait peut-être que paix et joie. "Jacques Nteka Bokolo

J'ai appris de chaque difficulté, j'ai appris de chaque déception, j'ai appris de chaque erreur. Je me suis remise en question, j'ai suivi des thérapies et j'en suis sortie grandie et plus évoluée. Chaque fois. Des personnes ne comprennent pas que je sois en quête de réponses, en quête de solutions. Des personnes ne comprennent pas que je puisse angoisser pour un oui, pour un non. Des personnes n'imaginent pas une seule seconde ce que le cerveau est capable de faire ! Il range, il tri, il vide, il oubli, il répare, il efface, il recommence encore et encore. Le cerveau est capable de tout et difficile à formater. Pourtant, moi je fais partie de ces gens qui y croient et je sais que rien n'arrive jamais par hasard.  "Lorsque vous ne pouvez pas contrôler ce qu'il se passe, mettez vous au défi de contrôler la façon dont vous réagissez à ce qu'il se passe. C'est là que réside votre pouvoir." F.H

Joli Papillon !

>> Un jour apparut un petit trou dans un cocon ; un homme qui passait à tout hasard s’arrêta de longues heures à observer le papillon qui s’efforçait de sortir par ce petit trou. Après un long moment, c’était comme si le papillon avait abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit. On dirait qu’il avait fait tout ce qu’il pouvait, et qu’il ne pouvait plus rien faire d’autre. Alors l’homme dû l’aider. Il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt. Mais son corps était maigre et engourdi; ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L’homme continua à observer, pensant que d’un moment à l’autre les ailes du papillon s’ouvriraient et seraient capables de supporter son corps pour qu’il prenne son envol. Il n’en fut rien ! Le papillon passa le reste de son existence à se traîner avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler. Ce que l’homme, avec son geste de gentillesse et son intention d’aider, ne comprenait pas, c’est que le passage du trou étroit du cocon était l’effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre à ses ailes le liquide de son corps, de manière à pouvoir voler. C’était le moule à travers lequel la vie le faisait passer pour grandir et se développer. Parfois l’effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie. Si l’on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d’obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler.

J’ai demandé la force... et la vie m’a donné des difficultés pour me rendre fort.
J’ai demandé la sagesse... et la vie m’a donné des problèmes à résoudre.
J’ai demandé la prospérité... et la vie m’a donné un cerveau et des muscles pour travailler.
J’ai demandé de pouvoir voler… et la vie m’a donné des obstacles à surmonter.
J’ai demandé l’amour... et la vie m’a donné des gens à aider dans leurs problèmes.
J’ai demandé des faveurs... et la vie m’a donné des potentialités.
Je n’ai rien reçu de ce que j’avais demandé… mais j’ai reçu tout ce dont j’avais besoin !

 

Vis la vie sans peur, dans la conscience que tout est parfait, affronte tous les obstacles et démontre que tu peux les surmonter. <<

Je suis dans ma bulle, j'avance et j'essaie de prendre du recul sur la vie que je mène. J'ai trop souvent laissé les gens prendre trop de place. Il est toujours difficile pour moi de dire non et d'assumer mes choix sans culpabilité. J'ai toujours besoin d'une bonne excuse plutôt que de refuser de faire quelque chose qui ne me fait pas plaisir. J'ai toujours ce besoin de prouver de peur de décevoir. C'est difficile de changer quand tu as toujours vécu avec ces automatismes. J'ai grandi dans une famille maternelle forte mais instable, et une famille paternelle aimante mais stressée. La peur des "on dit", la peur des jugements, la peur des gens, des gens sans importances. Enfaite on passe plus de temps à se mettre à la place de l'autre plutôt que de rester à notre place. A croire que la vision des gens était plus importante que notre propre pensée ! On grandit avec des valeurs, des principes, des marques de respects qui ne valent plus grand chose en société. Tu dis "Bonjour" on ne te répond pas, tu fais un sourire on baisse la tête, tu es sociable on pense que tu dragues, tu es discrète on te dit que tu fais la gueule, on te bouscule sans s'excuser, on t'insulte sans raison, on te juge, te jalouse sans arrêt, quelle société remplie de jalousie et de cons.

J'ai appris récemment que nous étions attirés par des âmes similaires à notre âme, ce qui signifie clairement que nous sommes entourés de ce que nous reflétons. J'en conclue donc que quand on veut arrêter un certain schéma, il suffit de se recentrer sur soi même et d'en écouter nos vibrations personnelles. Changer c'est difficile. Les automatismes sont encrés dans nos veines, dans nos cellules. En revanche, nous pouvons, petit à petit, s'éloigner de tout ce qui ne nous ressemble pas. Finalement, qui nous le reprochera ? Les amis ? Non. La famille proche ? Normalement non plus. Les personnes bienveillantes qui nous entournent, veulent notre bonheur n'est-ce pas ? 

Chaque jour, j'espère l'éloignement du négative afin d'être l'aimant de l'amour. Et je me rends compte que par le temps, c'est exactement ce qu'il se passe. 

Aujourd'hui je ne ferai pas de grand texte mélancolique, ni d'anecdotes difficiles à vivre.

Je veux juste transmettre de la paix et de l'amour dans le cœur de chacun.

 

Au prochaine article...

 

Laura

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Commentaires

Mireille Paroutaud
il y a 8 mois

C est beau ce que tu écris et tellevrai continu bisou de maman